Par l’expression marquage au sol, on fait référence à l’ensemble des informations visuelles apposées directement sur la chaussée ou sur le sol d’un environnement industriel. Également appelée signalisation horizontale, cette démarche est conseillée dans les zones de travail pour la sécurisation du personnel. Toutefois, le marquage au sol ne se fait pas n’importe comment et impose l’utilisation de certaines couleurs. Et chacune de celles-ci a une signification.
Quelques règles à connaitre
Une diversité de couleurs intervient dans le marquage au sol. Et avant de les utiliser, il est important de connaitre les règles définies par le code de la construction. Il en ressort par exemple que les bandes jaunes et noires, ou rouges et blanches doivent être disposées au niveau des zones accessibles aux salariés et potentiellement dangereuses. Lorsqu’on parle de danger, on fait référence aux obstacles susceptibles de survenir dans ces zones et capables d’engendrer des chocs ou des chutes de personnes.
Notez aussi que la signalisation de certaines voies de circulation est obligatoire afin que celles-ci soient clairement identifiées. Cette identification doit se faire par des bandes continues au bord de ces voies, des bandes de préférence blanches ou jaunes.
Les principales couleurs autorisées
Pour réaliser un marquage au sol, voici les principales couleurs autorisées :
- le blanc sert à un marquage général des voies de circulation et de zones de stockage
- le rouge est utilisé pour signaler un danger ou une interdiction
- le vert permet de donner une information ou de montrer une direction
- le jaune est la couleur utilisée pour marquer les avertissements et dangers
- l’orange est mise en place pour signaler le stockage de produits chimiques
- le bleu permet de signaler les marquages de protection ou d’obligation
- le noir et le gris sont des couleurs utilisées pour effacer les lignes existantes sur le béton ou devant les portes automatiques.
